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Littératures étrangères | Nouveautés

Publié le 30-05-2023

La BSB vous propose une sélection de romans à emprunter.

Vous retrouverez ces ouvrages sur les étagères de présentation à l'entrée de la salle du 1er étage aile Chartière, et dans le fonds Autres littératures étrangères.

Cartographe
 
  • Le cartographe des absences
    Mia Couto ; traduit du portugais (Mozambique) par Elisabeth Monteiro Rodrigue
    869 COU ca

    "En 2019, un cyclone a entièrement détruit la ville de Beira sur la côte du Mozambique. Un poète est invité par l’université de la ville quelques jours avant la catastrophe. Il retrouve son enfance et son adolescence dans ces rues où il a vécu dans les années 70. Il va faire un voyage "vers le centre de son âme" et y trouver son père, un grand poète engagé dans la lutte contre la colonisation portugaise. Il se souvient des terribles massacres perpétrés par les troupes coloniales."
Les vivants
  • Les vivants et les autres
    José Eduardo Agualusa ; traduit du portugais (Angola) par Danielle Schramm
    869 AGU vi

    "On prépare sur l'île de Mozambique un festival littéraire, une rencontre avec les poètes et les écrivains africains les plus célèbres, venant des quatre coins du monde, tous attirés par la beauté unique et la magie de l'île. La jeune organisatrice est sur le point d'accoucher.Soudain, une violente tempête s'abat sur le continent et l'île enveloppée de brouillard est isolée, personne ne peut plus emprunter le pont qui la relie au monde. Au cours de cette semaine étrange vont se produire des événements qui vont remettre en cause les frontières entre la réalité et la fiction, le passé et l'avenir, la vie et la mort."
 La fin
  • La fin : roman
    Attila Bartis ; traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba
    894.5 BAR fi

    "András Szabad a grandi dans une petite ville de Transylvanie, entouré de l'amour de sa mère, bibliothécaire. En 1956, son père est arrêté pour activités anticommunistes. Lorsque celui-ci rentre chez lui après trois ans, complètement brisé, la mère d'András meurt, et cette disparition marque pour ce dernier la fin de l'enfance. András déménage à Budapest avec son père et y découvre la photographie. Son appareil devient comme un prolongement de lui-même, l'organe au travers duquel il voit le monde, le tient à distance et en capture les images."
Kim Jiyoung
 
  • Kim Jiyoung, née en 1982
    Cho Nam-Joo ; traduit du coréen par Kyungran Choi et Pierre Bisiou

    895.7 CHO ki

    "
    Kim Jiyoung est une femme ordinaire, affublée d'un prénom commun - le plus donné en Corée du Sud en 1982, l'année de sa naissance. Elle vit à Séoul avec son mari et leur petite fille. Elle a un travail qu'elle aime mais qu'il lui faut quitter pour élever son enfant. Et puis, un jour, elle commence à parler avec la voix d'autres femmes. Qu'a-t-il bien pu lui arriver ? En six parties, qui correspondent à autant de périodes de la vie de Kim. Cho Nam-joo livre une photographie de la femme coréenne piégée dans une société traditionaliste."
Bandarcha
  • Bandarchâh
    Tayeb Salih ; traduit de l'arabe (Soudan) par Anne Wade Minkowski
    892.7 SAL ba

    "Après avoir volontairement pris sa retraite, lassé de la vie urbaine, Mohaymid est de retour dans son village natal, dans le nord du Soudan, au bord du Nil. Ses anciens amis lui expliquent que tout va très mal, la jeune génération ayant pris le pouvoir, et ils ressassent leurs souvenirs.Tout au long du roman, l'auteur se plaît à brouiller les pistes, dans une profusion d'histoires qui courent sur quatre générations. Un message sous-tend l'ensemble : le présent, avec sa modernité importée de l'étranger, n'est pas sans défauts, mais le pire serait de s'en échapper par une reproduction du passé."
Lode au chou
  • L'ode au chou sauté
    Inoue Areno ; traduit du japonais par Patrick Honnoré
    895.6 INOa od

    "Dans la banlieue de Tokyo, Kôko, Matsuko et Ikuko tiennent une petite cantine de quartier. La cuisine y est familiale ; et bien que joyeuses et pleines d'énergie, elles n'ont, pour les clients qui poussent la porte, rien d'extraordinaire. Ce sont des femmes qui prennent de l'âge, des femmes invisibles. Mais il suffit de goûter les beignets de palourdes, les croquettes de tôfu aux bulbes de lis ou les bourgeons de pétasites au miso qu'elles cuisinent pour qu'opère une étrange alchimie. Quelle chance d'aimer manger ! Quelle chance d'être vivante !"
des racines blondes
  • Des racines blondes
    Bernardine Evaristo ; traduit de l'anglais par Françoise Adelstain
    82/5 EVA ra

    "Et si l’Afrique avait conquis le monde ? Et si les maîtres étaient devenus les esclaves ? Née dans une famille d’agriculteurs anglais, enlevée par des trafiquants et revendue en Aphrika, Doris a été réduite en esclavage par le Chef Kaga Konata Katamba Ier, dont les initiales – KKK – sont gravées sur sa peau. Mais lorsqu’elle tente de s’échapper, le soir de la messe Voodoo, elle se heurte à la violence d’une société tout entière fondée sur l’exploitation de son peuple. [...] Dans cette fable uchronique qui doit autant à Lewis Carroll qu’à Toni Morrison, Bernardine Evaristo inverse les couleurs de l’histoire pour mieux démonter et dénoncer les mécanismes de domination à l’œuvre dans nos sociétés."
La derniere porte
  • La dernière porte avant la nuit
    Antonio Lobo Antunes ; traduit du portugais par Dominique Nédellec
    869 ANT de

    "Cinq hommes sont liés par un pacte criminel : tous ont participé au kidnapping et à l’assassinat d’un chef d’entreprise fortuné, dont ils ont fait disparaître le corps, espérant que leur forfait reste impuni. Chacun des protagonistes évoque tour à tour le déroulement des faits, multipliant les digressions sur ses états d’âme, les mille et une misères de l’existence, égrenant souvenirs d’enfance et obsessions. « Sans corps il n’y a pas de crime », affirme l’un des assassins : parfois cependant, la vérité parvient à remonter à la surface sous des formes insoupçonnées."
Journal dun vide
 
  • Journal d'un vide : roman
    Emi Yagi ; traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon
    895.6 YAG jo

    "
    Puisqu'elle est la seule femme de son équipe, c'est Mme Shibata, une jeune trentenaire diplômée, qui hérite des tâches quotidiennes les plus ingrates. Faire le café, ranger la salle de réunion, laver les tasses sales de tous ses homologues masculins... Mais un jour, dans un accès de rébellion non prémédité, elle refuse. L'odeur d'un mégot se consumant au fond d'une énième tasse de café lui donne la nausée. Du fait de sa grossesse, annonce-t-elle. Seule ombre au tableau : Mme Shibata n'est pas enceinte."

    Textes extraits des 4de couverture.

 Vous pouvez emprunter jusqu'à 8 ouvrages et revues sur votre carte BSB.

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